Socialisation
J'aime bien les soirées d'été...
A cause de la chaleur, on part en balade tard le soir. Souvent, on va au parc, immense, qui est juste en dessous de mon panier. Là je peux courir, mais attention, c'est délimité chien/humain. Pas de barrières, mais je commence à comprendre où ce que je n'ai pas le droit de mettre la patte.
Ensuite on part sur la colline derrière le parc. Y'a plein de bêtes, renards, écureuils. Je deviens folle. Alors je suis en longe. Mais quand on passe derrière la colline, y'a un portail. Derrière le portail, je fais ce que je veux. C'est un parc, réservé pour NOUS. Incroyable en ville. Faut croire que les impôts canins exorbitants que ma bipède payent chaque année servent à quelque chose.
Dès fois, je suis la seule dans ce parc, alors Elle me fait travailler et après on joue. Mais souvent, y'a des autres. Et là, comme elle dit, ça fait du bien à ma sociabilité.
J'ai un mètre carré à moi, j'aime pas qu'on déborde dedans.
Parce que faut le dire. Après 6 mois de vie commune, j'avais pris assez d'assurance pour me la péter devant les autres. Sans délicatesse et aucun codes canins convenus. Avec les mâles, ça passe toujours, ils adorent les pisseuses faut croire. Avec les femelles, c'est une autre histoire.
Mais bon, ça s'apprend, à communiquer. Avant mes deux ans, j'ai pas souvenir d'avoir rencontré de congénères. Les premiers que j'ai vu, c'était à la SPA, et pas des commodes, ça aide pas pour la suite.
Alors on a fait de la socialisation en même temps que l'éducation.
Maintenant je peux évoluer en meute sans mettre le bronx et trouver ma place rapidement.
Au parc à chiens, les propriétaires d'apéricubes ne sont pas sur les dents pour protéger leurs trésors. Ils se défendent tout seul, et c'est quand même la meilleure école.
Mais j'ai toujours mon mètre carré, y'a des privilégié qui ont le droit d'y rentrer (un peu) et sinon, qu'ils me laissent faire ma vie, je vais pas me mêler de la leur.
Et il y a le jeu avec les autres. J'ai pas que ça à faire. L'autre qui s'aplatit par terre le cul en l'air en brassant du vent avec sa queue, ça me parle pas du tout. On peut toujours aller aux taupes ensemble, courir après un baton (et encore), mais plus, c'est non.
C'est pas compliqué, mais y'en a qui ont de la peine à comprendre...
A cause de la chaleur, on part en balade tard le soir. Souvent, on va au parc, immense, qui est juste en dessous de mon panier. Là je peux courir, mais attention, c'est délimité chien/humain. Pas de barrières, mais je commence à comprendre où ce que je n'ai pas le droit de mettre la patte.
Ensuite on part sur la colline derrière le parc. Y'a plein de bêtes, renards, écureuils. Je deviens folle. Alors je suis en longe. Mais quand on passe derrière la colline, y'a un portail. Derrière le portail, je fais ce que je veux. C'est un parc, réservé pour NOUS. Incroyable en ville. Faut croire que les impôts canins exorbitants que ma bipède payent chaque année servent à quelque chose.
Dès fois, je suis la seule dans ce parc, alors Elle me fait travailler et après on joue. Mais souvent, y'a des autres. Et là, comme elle dit, ça fait du bien à ma sociabilité.
J'ai un mètre carré à moi, j'aime pas qu'on déborde dedans.
Parce que faut le dire. Après 6 mois de vie commune, j'avais pris assez d'assurance pour me la péter devant les autres. Sans délicatesse et aucun codes canins convenus. Avec les mâles, ça passe toujours, ils adorent les pisseuses faut croire. Avec les femelles, c'est une autre histoire.
Mais bon, ça s'apprend, à communiquer. Avant mes deux ans, j'ai pas souvenir d'avoir rencontré de congénères. Les premiers que j'ai vu, c'était à la SPA, et pas des commodes, ça aide pas pour la suite.
Alors on a fait de la socialisation en même temps que l'éducation.
Maintenant je peux évoluer en meute sans mettre le bronx et trouver ma place rapidement.
Au parc à chiens, les propriétaires d'apéricubes ne sont pas sur les dents pour protéger leurs trésors. Ils se défendent tout seul, et c'est quand même la meilleure école.
Mais j'ai toujours mon mètre carré, y'a des privilégié qui ont le droit d'y rentrer (un peu) et sinon, qu'ils me laissent faire ma vie, je vais pas me mêler de la leur.
Et il y a le jeu avec les autres. J'ai pas que ça à faire. L'autre qui s'aplatit par terre le cul en l'air en brassant du vent avec sa queue, ça me parle pas du tout. On peut toujours aller aux taupes ensemble, courir après un baton (et encore), mais plus, c'est non.
C'est pas compliqué, mais y'en a qui ont de la peine à comprendre...